Ensemble, faisons briller le Togo comme l'or de l'humanité

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Kofi M. Sonokpon

Kofi M. Sonokpon

Futur Président

Futur Président

Vu le grand fiasco spirituel, moral, politique, social, économique et financier dans lequel la longue confiscation tyrannique et dynastique du pouvoir a plongé la nation togolaise, nous n'aurons d'autres choix que de refonder le Togo sur les principes infaillibles et divins de Vérité et de Justice et d'Amour du prochain, qui qu'il soit. Notre survie collective et l'avenir de notre pays en dépendent. Je nous invite, dans un sursaut national, à en prendre conscience.

- Kofi Sonokpon

Vu le grand fiasco spirituel, moral, politique, social, économique et financier dans lequel la longue confiscation tyrannique et dynastique du pouvoir a plongé la nation togolaise, nous n'aurons d'autres choix que de refonder le Togo sur les principes infaillibles et divins de Vérité et de Justice et d'Amour du prochain, qui qu'il soit. Notre survie collective et l'avenir de notre pays en dépendent. Je nous invite, dans un sursaut national, à en prendre conscience.

- Kofi Sonokpon

Un leadership de rang mondial au service de tous les Togolais

Un leadership de rang mondial au service de tous les Togolais

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

04

04

APR 2018

APR 2018

Pour diffusion immédiate

Nouveau rebondissement dans la crise togolaise

L'ex-candidat à la Mairie de Montréal réclame la destitution de Faure Gnassingbé pour haute trahison, crimes constitutionnels et terrorisme d'État contre la nation togolaise

 

MONTRÉAL, le 4 avril 2018 – L’homme n’est plus apparu sur la scène politique depuis l’élection municipale de novembre 2013 à laquelle il avait participé en tant que candidat indépendant à la course à la Mairie de Montréal. Il avait alors marqué l’histoire comme le premier Montréalais d’origine africaine à briguer la magistrature suprême de la deuxième métropole du Canada, aujourd’hui vieille de 376 ans.  

En effet, Kofi Sonokpon vient de prendre position dans la crise politique qui secoue le Togo, son pays d’origine en réclamant tout simplement la destitution du président togolais Faure Gnassingbé pour dit-il « haute trahison, crimes constitutionnels et terrorisme d’État contre la nation togolaise ».

« Pour ma part, la crise actuelle prend ses racines profondes dans le rejet et le non-respect de la souveraineté du peuple togolais et de la constitution qu’il adoptée par référendum à plus de 97% des suffrages exprimés le 27 septembre 1992. 

Je dois souligner que cette loi fondamentale est la seule qui contient les dispositions nécessaires pour garantir la démocratie, l’État de droit et l’alternance pacifique sur la base d’élections crédibles. Or, il se trouve que M. Faure Gnassingbé, dans une volonté inavouée de confiscation absolue des pouvoirs, avait orchestré le renversement de ces dispositions par un coup de force législatif, déguisé en révision constitutionnelle en 2002, alors qu’il était député à l’Assemblée Nationale et membre de la Commission des lois. Ce qui lui a par la suite permis de prendre le pouvoir grâce à une autre série de coups de force constitutionnels dont un coup d’État militaire le 5 février 2005. 

Et comme si cela ne suffisait pas, Faure Gnassingbé a violé de façon répétée et quasi quotidienne au moins 60 dispositions, soit environ 40% des articles de cette constitution. Par la suite et ce depuis le 19 août 2017, il a illégalement déployé des militaires pour assiéger et terroriser les populations dans des villes septentrionales du Togo dont les habitants avaient pourtant manifesté pacifiquement, suite à l’appel de l’opposant Tikpi Atchadam, président du Parti National Panafricain (PNP). » A déclaré, M. Sonokpon.

Rappelons que le Togo traverse une grave crise politique depuis le 19 août 2017 avec une vague de protestations quasi hebdomadaires au cours desquelles des centaines de milliers de Togolais étaient descendus dans les rues de la capitale Lomé et d’autres villes du pays, pour réclamer notamment le retour à la constitution adoptée par référendum en 1992 ou le départ immédiat de Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 13 ans. La diaspora togolaise a également manifesté dans plusieurs villes africaines, européennes, américaines et asiatiques en soutien à l’opposition qui réclame aussi le vote des Togolais de l’étranger. Faure Gnassingbé a succédé à son père, le feu Général Gnassingbé Eyadema, qui avait lui dirigé le pays sans partage pendant 38 ans. 

Le pouvoir de Lomé avait d’abord réagi par un silence assourdissant, puis a lancé un appel au dialogue en novembre 2017. Après s’être accusés mutuellement de traîner les pas, le pouvoir et l’opposition, représentée par une coalition de 14 partis politiques dont le PNP, ont entamé depuis le 19 février 2018 des discussions sous la facilitation du président Nana Akufo-Addo du Ghana, pays voisin du Togo. 

Cependant, concilier les positions diamétralement opposées s’avère une tâche très ardue pour le facilitateur ghanéen qui a dû suspendre les pourparlers inter-togolais à trois reprises. La dernière suspension est intervenue le 23 mars dernier au troisième jour des discussions, essentiellement autour de la question épineuse de la participation ou non de Faure Gnassingbé à la prochaine élection présidentielle prévue pour 2020.

Pour l’heure, l’opposition togolaise aurait fait des concessions sur ses revendications principales à savoir le retour intégral de la constitution de 1992 dans sa forme originelle et le départ immédiat de M. Gnassingbé. Elle serait aujourd’hui prête à former un gouvernement de transition, mais exigerait néanmoins le retrait de Faure Gnassingbé en 2020. Une position qui n’est pas du goût du pouvoir de Lomé.

M. Sonokpon, quant à lui, ne croit pas que le dialogue politique soit le moyen approprié pour résoudre un problème qui, selon lui, est fondamentalement constitutionnel donc juridique. Il en appelle donc à la responsabilité constitutionnelle de l’Assemblée Nationale togolaise qui, d’après lui, devrait procéder à la destitution immédiate de l’actuel président du Togo pour de mettre fin à ce qu’il qualifie de « confiscation tyrannique et dynastique des pouvoirs du peuple togolais par la famille Gnassingbé depuis 51 ans ».

« En fait, sur la base des crimes imprescriptibles commis contre la nation depuis 2002, Faure Gnassingbé est normalement disqualifié de toute élection au Togo, y compris les élections présidentielles de 2005, 2010 et de 2015 auxquelles la cour constitutionnelle du Togo l’avait illégalement autorisé à participer. 

M. Faure Gnassingbé est sans doute l’individu le plus criminel de toute l’histoire de la nation togolaise. Or, il se trouve que c’est lui qui dirige le pays et qui fait arrêter arbitrairement, torturer et tuer nos concitoyens tout en terrorisant les paisibles populations dans des villes de l’intérieur du Togo dont Sokodé, Bafilo, Mango et Kara. » A ajouté M. Sonokpon. 

« L’Assemblée Nationale en vertu des articles 45, 52, 146 et 150 de la constitution a l’obligation d’agir face aux multiples violations constitutionnelles commises par Faure Gnassingbé. Les députés en tant que représentants légitimes du peuple doivent voter une loi dans les plus brefs délais pour le destituer des fonctions de Président de la République, de Chef de l’État, de Chef des Armées et de Ministre de la Défense qu’il occupe illégalement depuis plusieurs années! » A-t-il poursuivi.

Il faut souligner aussi que dès le début de la crise, la France, les États-Unis, l’Allemagne, l’ONU et l’Union Européenne avaient émis le souhait que les protagonistes se retrouvent autour d’une table pour parvenir à un accord politique et à des réformes pouvant garantir des élections libres et transparentes dans ce petit pays d’Afrique de l’Ouest.

Selon l’ex-candidat à la Mairie de Montréal, les acteurs politiques togolais ont maladroitement glissé le problème sur un terrain politique au lieu de le maintenir dans son contexte juridique de départ et c’est ce qui justifie les appels au dialogue de la part de la communauté internationale. 

« Je vois mal les dirigeants occidentaux recommander un dialogue politique s’ils savaient que le problème repose essentiellement sur des crimes constitutionnels. Ce que je retiens pour ma part, c’est que nous ne pouvons pas en vouloir à la communauté internationale d’avoir préconisé un remède circonstanciel à la crise togolaise, puisqu’elle n’est pas sensée connaître le problème togolais et ses origines mieux que les Togolais eux-mêmes.  Ce que le peuple togolais attendrait plutôt de la communauté internationale, y compris la CEDEAO1, c’est un appui militaire, conformément à l’article 150 de la constitution togolaise, pour soutenir la résolution juridique de la crise, si Faure Gnassingbé faisait recours aux armes pour contester sa destitution par l’Assemblée Nationale.  Je dois souligner que la soif du peuple togolais pour la liberté, la démocratie, l’État de droit et l’alternance politique n’est en rien incompatible avec la préservation des intérêts étrangers dans notre pays. » A conclu Kofi Sonokpon.

Selon le Canadien d’origine togolaise, on ne peut pas s’attendre à ce que le dialogue en cours aboutisse à un résultat conforme à la volonté du peuple togolais. Les Togolais ont en effet crié leur ras-le-bol dans plusieurs villes togolaises et à l’étranger. Cependant, le pouvoir semble rester sourd face à ceux qui réclament son départ immédiat depuis sept mois. Il serait alors intéressant de suivre de près la portée de cette sortie de l’ex-candidat à la Mairie de Montréal et surtout l’alternative qu’il a proposée pour une sortie définitive de la crise togolaise.

###

 

A propos de Kofi Sonokpon

Premier candidat d'origine africaine à briguer le poste du Maire de Montréal, la deuxième métropole canadienne en 2013, Kofi Sonokpon est le Directeur de Publication d’Airline Profits, le premier magazine aéronautique consacré à l’efficacité et la rentabilité des compagnies aériennes. Avec près de 25 ans d’expérience en aviation internationale, Kofi Sonokpon est détenteur d'un Master of Business Administration (MBA) spécialisé en transport aérien sponsorisé par l’Association internationale du transport aérien (IATA) et décerné  par le John Molson School of Business (JMSB) de l'Université Concordia. Expert aéronautique et leader d’opinion, Kofi Sonokpon est également conférencier, formateur et l’auteur de plusieurs ouvrages à propos du leadership et d’une série innovante consacrée à la gestion des compagnies aériennes au 21e siècle, à savoir Airlines for Business et Airlines for Technology. Accrédité comme délégué des médias à la 39e Assemblée Triennale de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) en 2016, Kofi Sonokpon anime la série Airline Profits Executive Interviews au cours de laquelle il discute des divers problèmes et solutions avec les dirigeants et les experts du secteur aéronautique.

Au cours de sa riche carrière internationale, Kofi Sonokpon a servi plusieurs grandes entreprises en aviation en Afrique, en Europe et en Amérique et a contribué à la réalisation de plusieurs programmes aéronautiques de grande envergure. 

Au plan communautaire, Kofi Sonokpon est un citoyen engagé dans la lutte au décrochage scolaire à titre de conférencier depuis 2010. À ce titre, il s’est adressé à plusieurs milliers de jeunes élèves et étudiants lors de ses conférences enflammées au sujet du leadership, de la persévérance, de l’entreprenariat et de la réussite dans la région métropolitaine de Montréal. Désigné comme modèle de persévérance dans le cadre du programme Valorisation Jeunesse Modèle Sans Frontière, une initiative du Gouvernement du Québec, Kofi Sonokpon a également reçu les remerciements de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et du Réseau Réussite Montréal pour son engagement à promouvoir l’éducation, la persévérance et la réussite scolaire.

Nominé à maintes reprises pour le prix du MBA de l’année, Kofi Sonokpon a reçu plusieurs distinctions pour ses succès professionnels et son service à la communauté, incluant celle de Lauréat 2014 du Mois de l’Histoire des Noirs.

 

Note aux Éditeurs

1Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest

Contact

Vous pouvez joindre Kofi Sonokpon pour une interview ou plus de détails sur ce communiqué à :

https://www.kofisonokpon.com/contactez-moi  

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L'ex-candidat à la Mairie de Montréal réclame la destitution de Faure Gnassingbé pour haute trahison, crimes constitutionnels et terrorisme d'État contre la nation togolaise

 

MONTRÉAL, le 4 avril 2018 – L’homme n’est plus apparu sur la scène politique depuis l’élection municipale de novembre 2013 à laquelle il avait participé en tant que candidat indépendant à la course à la Mairie de Montréal. Il avait alors marqué l’histoire comme le premier Montréalais d’origine africaine à briguer la magistrature suprême de la deuxième métropole du Canada, aujourd’hui vieille de 376 ans.  

En effet, Kofi Sonokpon vient de prendre position dans la crise politique qui secoue le Togo, son pays d’origine en réclamant tout simplement la destitution du président togolais Faure Gnassingbé pour dit-il « haute trahison, crimes constitutionnels et terrorisme d’État contre la nation togolaise ».

« Pour ma part, la crise actuelle prend ses racines profondes dans le rejet et le non-respect de la souveraineté du peuple togolais et de la constitution qu’il adoptée par référendum à plus de 97% des suffrages exprimés le 27 septembre 1992. 

Je dois souligner que cette loi fondamentale est la seule qui contient les dispositions nécessaires pour garantir la démocratie, l’État de droit et l’alternance pacifique sur la base d’élections crédibles. Or, il se trouve que M. Faure Gnassingbé, dans une volonté inavouée de confiscation absolue des pouvoirs, avait orchestré le renversement de ces dispositions par un coup de force législatif, déguisé en révision constitutionnelle en 2002, alors qu’il était député à l’Assemblée Nationale et membre de la Commission des lois. Ce qui lui a par la suite permis de prendre le pouvoir grâce à une autre série de coups de force constitutionnels dont un coup d’État militaire le 5 février 2005. 

Et comme si cela ne suffisait pas, Faure Gnassingbé a violé de façon répétée et quasi quotidienne au moins 60 dispositions, soit environ 40% des articles de cette constitution. Par la suite et ce depuis le 19 août 2017, il a illégalement déployé des militaires pour assiéger et terroriser les populations dans des villes septentrionales du Togo dont les habitants avaient pourtant manifesté pacifiquement, suite à l’appel de l’opposant Tikpi Atchadam, président du Parti National Panafricain (PNP). » A déclaré, M. Sonokpon.

Rappelons que le Togo traverse une grave crise politique depuis le 19 août 2017 avec une vague de protestations quasi hebdomadaires au cours desquelles des centaines de milliers de Togolais étaient descendus dans les rues de la capitale Lomé et d’autres villes du pays, pour réclamer notamment le retour à la constitution adoptée par référendum en 1992 ou le départ immédiat de Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 13 ans. La diaspora togolaise a également manifesté dans plusieurs villes africaines, européennes, américaines et asiatiques en soutien à l’opposition qui réclame aussi le vote des Togolais de l’étranger. Faure Gnassingbé a succédé à son père, le feu Général Gnassingbé Eyadema, qui avait lui dirigé le pays sans partage pendant 38 ans. 

Le pouvoir de Lomé avait d’abord réagi par un silence assourdissant, puis a lancé un appel au dialogue en novembre 2017. Après s’être accusés mutuellement de traîner les pas, le pouvoir et l’opposition, représentée par une coalition de 14 partis politiques dont le PNP, ont entamé depuis le 19 février 2018 des discussions sous la facilitation du président Nana Akufo-Addo du Ghana, pays voisin du Togo. 

Cependant, concilier les positions diamétralement opposées s’avère une tâche très ardue pour le facilitateur ghanéen qui a dû suspendre les pourparlers inter-togolais à trois reprises. La dernière suspension est intervenue le 23 mars dernier au troisième jour des discussions, essentiellement autour de la question épineuse de la participation ou non de Faure Gnassingbé à la prochaine élection présidentielle prévue pour 2020.

Pour l’heure, l’opposition togolaise aurait fait des concessions sur ses revendications principales à savoir le retour intégral de la constitution de 1992 dans sa forme originelle et le départ immédiat de M. Gnassingbé. Elle serait aujourd’hui prête à former un gouvernement de transition, mais exigerait néanmoins le retrait de Faure Gnassingbé en 2020. Une position qui n’est pas du goût du pouvoir de Lomé.

M. Sonokpon, quant à lui, ne croit pas que le dialogue politique soit le moyen approprié pour résoudre un problème qui, selon lui, est fondamentalement constitutionnel donc juridique. Il en appelle donc à la responsabilité constitutionnelle de l’Assemblée Nationale togolaise qui, d’après lui, devrait procéder à la destitution immédiate de l’actuel président du Togo pour de mettre fin à ce qu’il qualifie de « confiscation tyrannique et dynastique des pouvoirs du peuple togolais par la famille Gnassingbé depuis 51 ans ».

« En fait, sur la base des crimes imprescriptibles commis contre la nation depuis 2002, Faure Gnassingbé est normalement disqualifié de toute élection au Togo, y compris les élections présidentielles de 2005, 2010 et de 2015 auxquelles la cour constitutionnelle du Togo l’avait illégalement autorisé à participer. 

M. Faure Gnassingbé est sans doute l’individu le plus criminel de toute l’histoire de la nation togolaise. Or, il se trouve que c’est lui qui dirige le pays et qui fait arrêter arbitrairement, torturer et tuer nos concitoyens tout en terrorisant les paisibles populations dans des villes de l’intérieur du Togo dont Sokodé, Bafilo, Mango et Kara. » A ajouté M. Sonokpon. 

« L’Assemblée Nationale en vertu des articles 45, 52, 146 et 150 de la constitution a l’obligation d’agir face aux multiples violations constitutionnelles commises par Faure Gnassingbé. Les députés en tant que représentants légitimes du peuple doivent voter une loi dans les plus brefs délais pour le destituer des fonctions de Président de la République, de Chef de l’État, de Chef des Armées et de Ministre de la Défense qu’il occupe illégalement depuis plusieurs années! » A-t-il poursuivi.

Il faut souligner aussi que dès le début de la crise, la France, les États-Unis, l’Allemagne, l’ONU et l’Union Européenne avaient émis le souhait que les protagonistes se retrouvent autour d’une table pour parvenir à un accord politique et à des réformes pouvant garantir des élections libres et transparentes dans ce petit pays d’Afrique de l’Ouest.

Selon l’ex-candidat à la Mairie de Montréal, les acteurs politiques togolais ont maladroitement glissé le problème sur un terrain politique au lieu de le maintenir dans son contexte juridique de départ et c’est ce qui justifie les appels au dialogue de la part de la communauté internationale. 

« Je vois mal les dirigeants occidentaux recommander un dialogue politique s’ils savaient que le problème repose essentiellement sur des crimes constitutionnels. Ce que je retiens pour ma part, c’est que nous ne pouvons pas en vouloir à la communauté internationale d’avoir préconisé un remède circonstanciel à la crise togolaise, puisqu’elle n’est pas sensée connaître le problème togolais et ses origines mieux que les Togolais eux-mêmes.  Ce que le peuple togolais attendrait plutôt de la communauté internationale, y compris la CEDEAO1, c’est un appui militaire, conformément à l’article 150 de la constitution togolaise, pour soutenir la résolution juridique de la crise, si Faure Gnassingbé faisait recours aux armes pour contester sa destitution par l’Assemblée Nationale.  Je dois souligner que la soif du peuple togolais pour la liberté, la démocratie, l’État de droit et l’alternance politique n’est en rien incompatible avec la préservation des intérêts étrangers dans notre pays. » A conclu Kofi Sonokpon.

Selon le Canadien d’origine togolaise, on ne peut pas s’attendre à ce que le dialogue en cours aboutisse à un résultat conforme à la volonté du peuple togolais. Les Togolais ont en effet crié leur ras-le-bol dans plusieurs villes togolaises et à l’étranger. Cependant, le pouvoir semble rester sourd face à ceux qui réclament son départ immédiat depuis sept mois. Il serait alors intéressant de suivre de près la portée de cette sortie de l’ex-candidat à la Mairie de Montréal et surtout l’alternative qu’il a proposée pour une sortie définitive de la crise togolaise.

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A propos de Kofi Sonokpon

Premier candidat d'origine africaine à briguer le poste du Maire de Montréal, la deuxième métropole canadienne en 2013, Kofi Sonokpon est le Directeur de Publication d’Airline Profits, le premier magazine aéronautique consacré à l’efficacité et la rentabilité des compagnies aériennes. Avec près de 25 ans d’expérience en aviation internationale, Kofi Sonokpon est détenteur d'un Master of Business Administration (MBA) spécialisé en transport aérien sponsorisé par l’Association internationale du transport aérien (IATA) et décerné  par le John Molson School of Business (JMSB) de l'Université Concordia. Expert aéronautique et leader d’opinion, Kofi Sonokpon est également conférencier, formateur et l’auteur de plusieurs ouvrages à propos du leadership et d’une série innovante consacrée à la gestion des compagnies aériennes au 21e siècle, à savoir Airlines for Business et Airlines for Technology. Accrédité comme délégué des médias à la 39e Assemblée Triennale de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) en 2016, Kofi Sonokpon anime la série Airline Profits Executive Interviews au cours de laquelle il discute des divers problèmes et solutions avec les dirigeants et les experts du secteur aéronautique.

Au cours de sa riche carrière internationale, Kofi Sonokpon a servi plusieurs grandes entreprises en aviation en Afrique, en Europe et en Amérique et a contribué à la réalisation de plusieurs programmes aéronautiques de grande envergure. 

Au plan communautaire, Kofi Sonokpon est un citoyen engagé dans la lutte au décrochage scolaire à titre de conférencier depuis 2010. À ce titre, il s’est adressé à plusieurs milliers de jeunes élèves et étudiants lors de ses conférences enflammées au sujet du leadership, de la persévérance, de l’entreprenariat et de la réussite dans la région métropolitaine de Montréal. Désigné comme modèle de persévérance dans le cadre du programme Valorisation Jeunesse Modèle Sans Frontière, une initiative du Gouvernement du Québec, Kofi Sonokpon a également reçu les remerciements de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et du Réseau Réussite Montréal pour son engagement à promouvoir l’éducation, la persévérance et la réussite scolaire.

Nominé à maintes reprises pour le prix du MBA de l’année, Kofi Sonokpon a reçu plusieurs distinctions pour ses succès professionnels et son service à la communauté, incluant celle de Lauréat 2014 du Mois de l’Histoire des Noirs.

 

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Copyright © 2018 Kofi Sonokpon. Tous droits réservés

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